FAREBERSVILLER PLUS HAUT PLUS FORT,  LAURENT KLEINHENTZ

Demain ? Nous continuerons notre ascension, notre belle et continuelle métamorphose !

Vous l'aurez compris.. la ténacité est une de mes forces. Je n'ai pas plié devant les embûches et détracteurs en tous genres.

Ce fut dur, je dois l'avouer, mais je n'ai eu de cesse à croire et à poursuivre pour que le projet de la zone commerciale se concrétise.

Ce projet est un nouveau souffle pour les familles de Farébersviller, un souffle d'espoir pour les jeunes, les demandeurs d'emploi, de l'attractivité pour notre territoire.

 

Depuis que je suis Maire à Farébersviller et lors de mes permanences de Conseiller Général j’entends à longueur de semaines des familles en détresse venir frapper à ma porte : femmes élevant seules leurs enfants, RMIstes, chômeurs, travailleurs pauvres de tout le secteur.

 

Nous avons tous dans nos familles un mari, un frère, une tante ou une fille - quand nous ne sommes pas directement concernés - qui cherchent désespérément un travail, mais leur horizon est bouché. Ils me demandent ce que je peux faire pour eux, pour améliorer leur sort.

La seule réponse, et nul ne viendra me contredire, c’est qu’il faut du travail, du TAF me disent les jeunes !

Lui seul donne la stabilité, la confiance en l’avenir et l’intégration sociale.

Toutes les autres mesures ne sont que des palliatifs.

A force de chercher et de prospecter tous azimuts, j’ai trouvé, il y a plus de 10 ans, un projet capable de générer la création de plusieurs centaines d’emplois.

 

Aujourd’hui, le Grand Fare ou plutôt sa nouvelle dénomination B'EST’ est en train d’aboutir !

 

Oui, B'EST sera porteur d’espoir et de regain d’activité dans notre bassin de vie en crise. Vraiment, ce projet après-mines constitue un enjeu structurant vital et indispensable dans l’aménagement du territoire en participant à la reconversion et à la diversification de l’ex-bassin houiller.

Dans le contexte de crise actuel, ce serait une grave erreur de faire la fine bouche en face d’un investisseur privé qui veut s’implanter à hauteur de 150 millions d’euros !

CODIC, son opérateur, précise : « Les autorisations administratives nécessaires à la construction du projet sont devenues définitives de par la décision du Conseil d’Etat.

Le Grand Fare représente un volume d’investissement privé de 150 M€ pour une création d’environ 750 à 800 emplois.

En phase de chantier, l’activité permettra d’apporter deux ans de travail à 150 personnes.

 

Enfin dans la mesure où l’éventail des métiers est très ouvert, les partenaires du projet, CODIC FARE SAS, CARREFOUR et la SCC (Société des Centres Commerciaux) ont signé une convention avec Pôle Emploi et la Mission Locale pour l’Emploi qui seront chargés de coordonner les recrutements et si nécessaires les actions de formation complémentaires.

Le Conseil Général de la Moselle est également partenaire de cette démarche au titre des actions qu’il mène en faveur de l’insertion des publics prioritaires.»

 

Le Grand Fare devient B'Est. La construction durera de 18 mois à 2 ans et coûtera environ 150 millions d'Euros .

Elle emploiera environ 150 personnes en équivalent temps complet. Nous avons demandé à Codic d'inclure dans le cahier des charges, l'obligation d'embaucher pour les entreprises retenues des demandeurs d'emploi locaux.

 

Je vous l’assure, ce centre commercial qui sera construit en sortie d’autoroute, à côté de la mégazone départementale, à côté du parc d’activités communautaire, à côté d’une zone résidentielle privée, ce centre Grand Fare va développer tout notre bassin de vie par l’effet de synergie avec les activités voisines, et surtout booster l’économie de la Moselle-Est qui en a grand besoin !