J'aurai 67 ans en 2014, me le reprocher, c'est faire de la discrimination sur l'âge.
La discrimination, c'est tout ce qu'il faut éviter par les temps qui courent.
De Gaulle avait 69 ans quand il a été élu Président de la République !
Cela dit, parmi les jeunes, on trouve des personnes positives, pleines d'enthousiasme et l'esprit constructif, d'autres sont malheureusement déjà rétrogrades avant l'âge.
Il en est de même avec les séniors. Certains ont le dynamisme de l'expérience, l'énergie de la maturité, la force de la sagesse, d'autres sont repliés sur eux-mêmes.
On ne peut pas simplifier sans tomber dans la caricature.
Laurent KLEINHENTZ.
Être à l'écoute des habitants...
Qu’est ce qui me motive pour un nouveau mandat ?
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Voir la réalisation de ce que j’ai ardemment défendu pendant toutes ces années pour apporter des perspectives d’emploi à nos habitants.
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Voir Farébersviller s’embellir et se développer de plus en plus pour apporter de la prospérité à nos concitoyens.
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Le lotissement du Brouskir permet aux personnes venues d’horizons divers, de s’installer durablement, de construire.
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Voir les gens heureux de vivre en bonne intelligence à Farébersviller.
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Une ville, ce n’est pas seulement un maire et une équipe municipale, c’est un ensemble de personnes, avec la population, qui travaillent en synergie pour créer une harmonie. On a besoin de tirer ensemble dans la même direction, on a besoin de créer des passerelles entre nous.
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« Si les maisons font une ville, ce sont les habitants qui font vibrer le Cœur d’une Cité » déclarait le philosophe et humaniste Jean-Jacques Rousseau.
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Et moi je dirais même que les habitants sont l’âme de leur ville. Il faut en tenir compte et c’est ce que j’essaye de faire depuis toujours.
Lorsque j’ai pris les rênes de Farébersviller en 1989, j’avais 42 ans et une vision ambitieuse pour la commune que je connais bien, que j’aime et dont j’aime les habitants.
Donner de ma ville une image positive, améliorer les conditions de vie pour un mieux vivre ensemble, trouver des alternatives à la fermeture des mines de charbon.Ma première action forte a été d’adhérer au district de l’époque, la communauté de communes à l’heure actuelle.
L’ancien maire qui restait sur ses acquis, n’avait jamais voulu le faire.
Mais l’union est une force. Cela a permis de développer la zone de Henriville, Farébersviller, Seingbouse. Un début.
Ensuite, j’ai voulu désenclaver la cité juxtaposée au village. J’ai réalisé le lotissement autour de la mosquée pour réduire la séparation.
Par les deux ronds-points, sur la Grand-rue, la cité s’ouvre aux autres et accueille les gens à bras ouverts, les parterres fleuris apportent leur touche de gaité et de fraîcheur.
Les passants ne tarissent pas d’éloges sur cet accueil chaleureux et Far peut s’enorgueillir d’arborer sa deuxième fleur. Ce n’est pas acquis de manière facile.Farébersviller est une ville multiculturelle. Cela fait sa richesse, mais peut aussi créer des tensions.
De manière générale, je m’attache à chercher ce qui nous rassemble plutôt que ce qui nous divise. Il y a toujours des passerelles possibles aux hommes de bonne volonté. En général, je suis quelqu’un de confiant et d’ouvert, mais je me méfie des clivages.
Depuis 15 ans, j’ai le projet d’apporter un pôle attractif à notre ville qui a souffert de la fermeture des mines. Ce projet est une locomotive qui attirera d’autres investissements. A terme, cela donnera des centaines emplois à ceux qui voudront « se lever tôt » !
Qui sera embauché ? Des jeunes et des moins jeunes, des personnes motivées qui apporteront leurs compétences et leur savoir-faire. Des personnes qui garderont leur emploi s’ils démontrent leur rigueur, leur sens du travail
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